Travis O'Connor
Après plusieurs mois, je chassais donc dans la ville, il y avait un endroit qui me donnait assez de frissons pour me permettre d’avoir des bonnes sensations. Alors que je me baladais dans la ville, c’était ma soirée de libre, et je me doutais bien que San Franscisco depuis les siècles que j’étais là me permettais d’être libre. Ce bond dans la ville avait pu me dire que mon père était retourné en Italie. Ma tante et ma sœur Nerina venaient dans la même ville que moi. Je déménageais donc une fois de plus dans le but de ne pas les croiser. C’est en partie pour cette raison que prenais mes petites sorties faisable la nuit. Sauf que je ne m’attaquais qu’à mes ennemi(e)s et aussi à des voleurs, criminels, tout quoi. Alors que je chassais dans la ville, je vis un homme se faire attaquer par un autre homme. Me connaissant, je ne supportais pas les criminels.

- « Police on ne bouge plus. »

Sauf qu’il a fallu que l’humain bougeait un peu trop vite menaçant l’autre humain, je me demandais bien ce qu’il allait faire à la victime. Puis le tuant avec un coup de couteau. Je partais à la poursuite du criminel. Le trouvant, j’en fis mon diner. Revenant vers l’humain, je me disais bien que je n’allais pas le laisser là. Mordant mon poignet, je mettais une de mes gouttes de sang dans sa gorge. Je patientais, puis je pris l’homme, l’amenant chez moi, je le déposais dans le deuxième frigo situé dans la cave. Puis, je me doutais bien que le réveil ne serait pas toujours calme. Je patientais donc dans le premier frigo. Alors qu’il ouvrait un œil, puis deux, je vis un homme paniqué puis tout une tonne d’explications qui devaient sans doute lui paraitre assez folles. Je le vis avoir peur, mettre sa main sur son cou, il a eu une réaction assez explicite. Il laissa échapper un mot : « vampire ». Pris de panique, je dus le rassurer le plus possible. De plus il ne se rappelait rien de sa transformation ni de son attaque.

- « Tu es un vampire maintenant…Tu vas devoir vivre avec le sang toute ta vie….Je suis ta créatrice c’est-à-dire que tu dois m’obéir et que je vais t’aider à passer le cap de cette non vie que tu viens d’avoir. »

Ce fut les derniers mots que je lui ai dit avant de le voir s’effondrer sur le sol. L’aidant à se relever, je le remettais dans le frigo. Fermant la porte, je lui disais.

- « Reposes-toi bien. »

Remontant dans le salon, je me prenais un verre de cristal puis me déposant une poche de sang prise à l’hôpital. Je m’asseyais dans le sofa. Après quelques heures, j’entendais des pas qui montaient les escaliers. Tournant la tête, je vis l’humain venir, enfin il n’était plus humain, prenant sa carte d’identité et du permis de conduire qui se trouvaient sur la table. Je tentais de faire une approche sincère. Lui laissant ses affaires, je me doutais qu’il y avait un problème. Ayant assez de doutes pour l’instant, je me disais qu’il faudrait que je réponde à tout un tas de questions. Laissant pour le moment ses questions, je posais le verre sur la table, le voyant avoir faim, je lui donnais le verre. Me levant, je le laissais là, pour aller voir si je pouvais aller travailler.

- « Je vais bosser au commissariat, reste là. »

Le laissant là, je prenais la direction du commissariat. En revenant, je ne voyais personne, soupirant, je partais donc le retrouver, il était dans un endroit qu’il avait l’air de connaître. A la vieille du lever de soleil, je le vis là dans le parc, le prenant doucement, je le ramenais à la maison. Cela fait de moi maintenant une « mère » donc il était temps que je prenne mes responsabilités. On a parlé toute la nuit, puis je me suis rendue compte que j’avais aussi des choses à lui apprendre. Voilà c’est ma toute dernière nouvelle à vous dire, maintenant je travaille dans un commissariat, j’ai un vampire nait pour moi toute seule, et ma sœur va débarquer avec ma tante dans la ville.

Duncan Parker
D’ailleurs, j’ai dû prendre un autre réfrigérateur en plus. Alors que j’apprenais la chasse à mon cher et tendre petiot Travis, il a fait une sacré bourde. Je lui avais pourtant dis qu’il ne fallait pas qu’il boive tout. Mais bon, pour une fois, il ne m’a pas écouté. Il a fallu qu’il le vide presque en entier. Alors que j’arrivais en deux seconde, je vis le dernier signe de vie partir de l’humain. Giflant Travis, je lui dis furieuse.

- « Travis ! Non ! J’ai dit non, maintenant je vais devoir réparer ton erreur. »

Me penchant sur l’homme, je perçais mon poignet avec mes crocs, puis je versais une goutte puis deux, et là, je vis l’homme glouton. Il me prit un peu de sang, l’arrêtant en retirant mon poignet, je le regarda furieuse, mes yeux rouges, je lui disais.

- « Bienvenue, j’ai sentie de la magie chez toi, tu sais donc que tu es un vampire ? J’ai dû te sauver, mon petiot n’a pas tout fait comme il fallait. Maintenant, je vais vous aider tous les deux. Premièrement, je vais vous donner des cours de chasses. Et je tiens à ce que vous soyez plus précis que Travis. Mais avant tout, j’aimerais connaître votre nom. »

Me faisant suivre par mes deux petiots et des présentations faites, je prenais en compte que mes petiots avaient toujours été des doués. Bien qu’ils soient nouveaux nés, j’avais alors pas mal de choses à changer. Il y avait une chose que je devais ne pas perdre de vue. Ramenant Duncan chez lui, je lui donnais des instructions. Le mettant dans le placard, je lui disais qu’il fallait qu’il y reste pour la journée. Que je viendrais avec des rideaux occultant pour la journée. Le laissant dans le placard, je partais tout en lui donnant de quoi boire du sang. Il ne fallait pas qu’il soit sans rien. Je pouvais laisser Duncan chez lui parce qu’il voulait tout simplement rester chez lui. Une fois les consignes données, je le laissais chez lui. Repartant pour chez moi où Travis se tenait bien sagement dans le frigo. C’est vrai qu’au début, il ne voulait pas me suivre, puis, je pensais bien qu’il finirait par comprendre. De toute façon, il a les capacités pour vivre seul dans son appartement s’il suit bien mes instructions.

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