Un cauchemar éveillé ?! Peut-être bien ... {Tobby}

Très bonne blague. Très drôle. En temps normal, cela l'aurait fait certainement sourire, mais là non. Il n'avait qu'une envie. Le sang. Son sang. C'est certainement pour cela qu'il ne fit aucun commentaire sur ce que venait de dire l'autre sorcier. Il s'approcha doucement de son interlocuteur , et l'autre le prit par les cheveux. Hey aïe. On ne touche pas aux cheveux, après il allait être tout décoiffé et ça ne n'était pas cool... Comment il allait attirer les filles après hein ?! On ne dirait pas mais la coiffure était quelque chose d'important même avec son minois. Enfin bref, il ne ne tarda pas à planter ses crocs dans le cou de Tobias qui hurla comme une gamine... Le goût du sang commença à arriver... Il continuait à boire, à désécher en quelque sorte le pauvre sorcier de son fluide vital... Mais c'était plus fort que lui. Il ne pouvait pas s'arrêter, il arrivait juste à boire...
Alors qu'il faisait un bon repas, voilà que Natalia "sa maman", enfin disons plutôt sa créatrice apparut à la fenêtre, demandant à Tobias de l'inviter à rentrer. Malheureusement, l'autre était plutôt dans les vapes. Dommage pour elle. Et voilà qu'elle s'adressa à lui. Laisser l'humain tranquille ?! Elle ne comprenait pas qu'il n'arrivait pas se contrôler, que c'était plus fort que lui ?! Visiblement non. Tout comme elle n'avait pas l'air de saisir que c'était pas en le menaçant qu'il allait obéir et être sage, c'était tout le contraire. La violence, engendre la violence, son frère aîné lui avait bien fait comprendre... Si Nat voulait être un minimum respectée et écoutée, il allait falloir sérieusement qu'elle songe à adopter une autre attitude. Être plus douce. Avec sa mère, ou son ex petite amie, il était tout doux, tout tendre, gentil, obéissant. Il n'y avait que comme ça comme manière de le dompter. Travis ne préféra pas relever le "maman". Elle n'était pas sa mère, au contraire. Il aurait préféré crever cette nuit-là. A cause de Natalia, il avait perdu sa petite amie et son bébé, il les avait tué... tout comme il avait tué par faim plein d'autres personnes... Voilà à quoi allait se résumer sa vie. Rien de bien beau...
Tobias n'ayant pas prononcé un mot, et l'attention du plus jeune homme étant reportée sur sa victime il n'avait pas vraiment fait attention à l'arrivée de Natalia à ses côtés. Avant qu'il ne comprenne quoi que se soit, il s'était retrouvé à l'autre bout de la pièce. Jeté en l'air comme une vulgaire patate. Il réaterrit néanmoins sur ses jambes, grognant doucement, franchement content qu'elle l'ait coupé en plein dîner.

Travis & Tobias

CRÉDIT - CSS

♫ You found me by Dim Chris

J'avais l'impression d'être complètement ailleurs, le sang partait lentement de moi je commençais à avoir des fourmis dans les jambes pour remonter petit à petit dans les mains, je me sentais plus du tout. Je gardais les yeux fermement fermés je ne voulais pas voir la tête de ce monstre me bouffer, je parie qu'il avait dans les yeux cette étincelle de feu qu'on voit uniquement dans les regards des fous, je ne voulais surtout pas voir ce regard qui voulait dire qu'il se régalait avec ce qui me permet de vivre. La vie je n'allais plus pouvoir en profiter, je pensais que ma mort n'arriverait pas tout de suite que j'aurais le temps de la voir venir quand je serais vieux, que j'aurais vu mon fils grandir avoir une femme et des enfants qui sait, voir Valentine avoir des rides tout comme moi. Et puis je n'avais pas très envie que ce soit lui qui me tue, c'est la dernière personne que je vois et franchement j'aurais aimé voir un autre visage, un visage plus amicale. Un dernier souffle sorti de ma bouche, un râle devrais-je plutôt dire c'est le dernier avant que je parte très loin mais non en fait ce n'est pas la dernière chose que je ressentais, une chaleur intense s'empara de tout mon corps, je ne savais pas que c'était possible d'avoir mal à ce point, j'ai déjà eu des tonnes de fois mal mais là c'était pire que tout, je ne savais pas que c'était aussi douloureux de partir.

Je n'entendis pas la femme arriver, briser la vitre et me parler, impossible d'ailleurs de dire qui était ou n'était pas dans la pièce, j'espèrais que Valentine n'était pas là pour ne pas voir cet horrible spectacle. J'aurais voulu m'aggriper quelque part et partir à toute jambes mais non ce n'était pas possible impossible de bouger, de soulever ma paupière pour voir Travis voler à travers la pièce ça aurait pu me faire rire. Je suis sur que le sang venant de mon cou sortait rapidement, coulant sur le carrelage pas très propre de ma cave, je pense aussi que je devais avoir des convulsions un peu comme lorsque Bella se fait mordre par James sauf que et j'espère bien que je cris moins qu'elle et que je suis moins bizarre est-ce qu'un Edward version féminin viendra me sauver ? Je n'en sais rien et j'en doute beaucoup, je sens plus qu'on va me laisser ainsi crever la bouche ouverte comme un rat mort j'aurais même pas une belle mort on me mettra pas dans mon lit dans des draps propres non et puis j'aurais probablement pas d'enterrement ça va être la fête personne ne saura que je suis mort dans des souffrances abominables.

Voyant mon cher fiston contre le mur, il n’était plus trop content que je l’ai envoyé lui faire un petit bisou. Il était bien drôle de le voir grogner. Je dirais même qu’il a pu montrer un peu de vampire. Remarque bien que cela ne soit que le début, je ne pensais pas qu’il soit alors encore plus en colère après moi. Voyant l’humain là un peu dans les vapes, je voyais qu’il avait encore de la vie en lui. Après tout, je peux aussi avoir une chance de lui expliquer les choses. Mais parfois, je crois qu’il faut qu’il sorte un peu tout ce qu’il a sur le cœur. Mais voyez-vous, pour une fois, je n’avais pas envie de jouer de la psychologie. Je voulais juste qu’il comprenne la chose. Après tout, pour une fois, je pouvais trouver le bon fil. Etre vampire n’est pas très pratique. Vous ne savez pas comment faire les choses. De toute façon, je ne voulais pas me tromper dans mes propos. Le climat cruel que je voyais là me disait bien que pour une fois, je devais alors avant tout faire bien attention à la suite des choses. Je ne savais pas si ma relation avec Travis allait changer ou pas. Mais je devais admettre avant tout qu’il avait un petit quelque chose chez lui qui me plaisait bien. J’en étais sure qu’il m’en voulait beaucoup, mais pour une fois, il avait une chance. Je dirais même qu’il ne pouvait pas reconnaître qu’il soit mort pour de bon. En dehors de cela, je reconnaissais donc que si je voulais aider mon infant, il fallait que je le fasse comme il faut. Je devais donc faire le sacrifice dans mes propos pour l’aider à comprendre. Il ne devait plus avoir de haine pour moi. Je ne voulais pas de cette fin qui me disait que je devais m’abattre tout simplement parce qu’il le voulait. Il était alors normal qu’il accepte. Que l’espoir est toujours là lorsqu’on en a besoin. Jusqu’au bout, il faut se battre, il ne faut pas en rester là. Donc c’est comme ça que je procéderais. Tout en voyant qu’il était assez énervé, je ne tentais rien donc pour lui mettre encore plus la pression. Voyant qu’il était inconcevable que je le laisse faire, je prenais donc les choses en main.

Il y a assez de choses à faire lorsque vous sentez que la bataille n’est bonne que pour les plus chanceux. La guerre est une situation qui permet de donner un peu tout ce que chacun peut donner. Je devais donc prendre la mesure comme il fallait, je devais alors ne pas oublier que Travis doit avoir une envie folle de me courir après. Tout compte fait, je devais bien faire en sorte qu’il sache faire comme il faut. Pour autant que je puisse dire les choses, je ne voulais pas qu’il fasse encore des erreurs. Voyant la situation telle quelle, je prenais donc le temps de voir si Travis me suivait. Prenant la fenêtre, je repartais donc dans l’autre sens. Attendant qu’il veuille bien venir à la fenêtre. Je lui faisais un petit coucou. Un geste provocateur suffisamment qui pourrait donc le faire bouger un peu plus. Alors que je le voyais venir vers moi, je comptais donc le faire courir un peu. Il s’agissait de lui indiquer comment assouvir sa faim. Puis alors que pour une fois, je ne voyais pas trop comment faire. Je courais donc puis je me trouvais dans le but de lui apprendre les choses. Allant me mettre dans un endroit où il serait obligé de me chercher, j’avais alors dans ma poche une bouteille de jus de tomate. Je comptais bien lui donner pour qu’il puisse diner un peu. Après tout, j’en buvais et parfois cela était aussi nourrissant qu’un sang humain. Alors que je le voyais venir vers moi, je comptais bien lui apprendre la politesse.

Il n'avait pas pu s'empêcher de grogner, ça avait été plus fort que lui, comme si c'était sa nouvelle condition qui parlait. Sérieusement, c'était ridicule de grogner de la sorte ! Ce genre de chose l'avait toujours fait rire avant, mais là, il est vrai qu'il ne trouvait pas ça marrant du tout. Il était furieux contre Natalia, qu'elle l'ait privé de la fin de son repas. S'il s'était écouté (et surtout s'il avait pu), il aurait ressauté sur le pauvre Tobias pour le finir, mais non, sa créatrice l'en empêcherait. S'il avait eu une mitraillette à la place des yeux, il était clair net et précis que la pauvre Natalia se serait retrouvée criblée de balles. Il n'y avait plus que cette haine débordante qu'il avait pour la vampire, cette haine qui pouvait se montrer si destructrice. Il fallait peut-être qu'ils mettent les choses au clair, qu'il lui lâche tout ce qu'il ressentait... Non, une telle attitude serait ridicule et faible, mais d'un autre côté cela pouvait crever "l'abcès" qu'il y avait entre les deux. Qu'il le veuille ou non, il allait être obligé de la supporter, elle ne le lâcherait pas, de plus ils vivaient ensemble ils étaient forcés de se croiser, alors un minimum d'entente était plutôt de rigueur non ?! Il ferma les yeux quelques secondes. Lorsqu'il les rouvrit, elle se rendit compte qu'elle était à la fenêtre, qu'elle allait sûrement partir. Au départ il ne bougea pas, il y avait toujours Tobias allongé par terre et cette délicieuse odeur de sang...Il fallait qu'il résiste, il pouvait le faire. Il le devait. Il jeta un nouveau regard vers Natalia, et là, elle lui fit un petit coucou provocateur. Elle le cherchait, c'était clair et précis. C'était le geste de trop. Il se précipita vers elle, mais bien entendu elle plus rapide que lui. Et une sorte de course poursuite commença... pour finir vers chez eux. Oh la sal**pe, j'vais me la faire ! pensa-il Oh oui, il avait enfin de la tuer, de la dépecer... Elle l'avait bien eu. Il s'arrêta, il avait perdu sa trace. La cherchant, il remarqua à une bonne centaine de mètres, il ne tarda pas à la rejoindre. Pas de paroles, ça ne servait à rien mis à part utiliser sa salive pour rien. Il remarqua une bouteille rouge dans sa main, elle contenait du jus de tomate! Diantre, qu'est-ce qu'elle foutait avec ce genre de truc dans ses poches ?! Plus le temps passait, plus il trouvait sa comparse étrange...

[HS: On vous laisse en tête à tête Val/Tobby *siffle*]

Spoiler:

Valentine était chez elle, avec des choses pleins la tête. Elle repensait à elle et Tobias et à comment elle allait devoir l’annoncé à Amber incessamment sous peu. La belle était rentrée il y a une heure à peine et elle avait décidé de se coller devant un bon film. C’était la méthode Val’, un bon film, une tasse de thé et on passe une des meilleures soirées de sa vie. Elle était donc en train de faire chauffer l’eau, pensant à son couple, son enfant et sa vie qui prenait un tournant fulgurant ! Elle était heureuse ! La voila maintenant adulte pour de vrai et dans la vie. Le Bondie tourne à plein régime, elle est de nouveau avec Tobias, ils vont emménager ensembles bref, le bonheur… Elle chantonnait une chanson de Guns n’ Roses, tout en se déhanchant de la cuisine au salon et inversement. Enfin, le thé fut prêt, elle versa l’eau dans une tasse et se dirigea vers le canapé. C’est à ce moment là qu’elle se décida à prendre le dvd qu’elle voulait regarder. Il s’agissait de « Geisha », un des films qu’elle avait vu avec Tobias et elle l’avait tellement aimé qu’il lui avait offert le dvd. Mais au moment où sa peau rencontrait la boite du dvd, elle eu une vision.

Quelqu’un était accroupi au sol près d’une autre personne, qui elle, était allongée. Valentine aperçut autour des deux silhouettes des mares de sang et se rendit compte avec horreur qu’elle se trouvait chez Tobias. Enfin, la personne accroupie s’écarta et laissa apparaître, devant une Valentine horrifiée, le corps de Tobias quasi-inanimé qui se vidait de son sang. La vision prit fin quand le regard de Valentine rencontra celui de Tobias.

Elle revint à la réalité et, sous le choc, elle venait de lâcher la tasse qu’elle avait dans les mains. Le thé se répandait partout par terre mais elle ne semblait le remarquer. Elle mit quelques secondes à réagir et d’un coup, se rua sur ses clés de voiture et sur son téléphone. Elle sortit de chez elle en trombe, laissant tout comme c’était, y compris le thé sur la moquette et elle dévala les escaliers. Elle traversa le parking au pas de course et se jeta dans sa voiture. Elle ne pouvait pas aller plus vite. Elle mit le contact et appuya sur le champignon avec force. Branchant le haut-parleur, elle appela des secours et les envoya chez Tobias. Quand elle raccrocha d’avec le service d’ambulance, elle arrivait devant chez Tobias. Elle attrapa au vol son téléphone, et sortit rapidement de la voiture.

La porte était ouverte, pourvus qu’il ne soit pas trop tard. Elle grimpa quatre à quatre les marches du perron et entra dans la maison. Une atmosphère pesante planait dans la demeure.

« Tobias ! Tobias, où es-tu ? Tobias ! »
Valentine entendit des bruits dans le salon. Elle couru vers la porte menant au salon et su avant de la voir, qu’elle avait pris la bonne direction. Le sang de Tobias était éparpillé sur la moquette. Elle pénétra dans la salle et le trouva enfin. Une morsure béante au cou, du sang partout par terre, mais en vie. Elle se jeta à ses côtés en lui passant une main sur la joue.

« Mon dieu Tobias, qui t’as fais ça ? Est-ce que ça va ? Tu m’entends ? Tout va bien, j’ai appelé les secours ! Tiens bon mon cœur ! »

Ses yeux s’humidifièrent instantanément. Elle ne pouvait supporter de voir son homme dans cet état. Elle l’avait perdu, mais il était revenu, jamais elle ne le laisserait repartir, surtout pas pour l’autre monde. Elle défit sa veste et la mit sur Tobias pour le couvrir et lui tenir chaud. Ensuite elle arracha un bout de son tee-shirt pour le poser sur la blessure. Cela empêcherais un peu le sang de couler. Elle regarda Tobias avec un regard à la fois suppliant et triste.

« Tiens bon Tobias ! Ne me laisse pas… Je t’en supplie… »

Elle sentait que sa respiration était difficile et qu’il souffrait beaucoup. Qui avait bien pu lui faire autant de mal ?! Elle n’en pouvait plus de tout ces malheurs qui venait essayer de ternir son tableau du bonheur. Elle voulait juste vivre heureuse avec lui mais il semblerait que leur destin soit de faire face encore et encore à toutes sortes de problèmes. Mais là, c’était trop ! Il était au bord de la mort, elle allait avoir du mal à s’en remettre. Voir l’homme qu’elle aime ainsi, ne pouvait que la terroriser encore plus de le perdre par la suite. Elle lui passa une main sur la joue pour essayer de le garder avec elle le plus longtemps possible. Allez Tobias, juste quelques minutes et ensuite l’ambulance sera là…

Travis & Tobias

CRÉDIT - CSS

♫ You found me by Dim Chris

C'est bizarre de se dire c'est mes derniers instants, je n'ai pas assez vécu et tout ça à cause d'une vieille "connaissance" si on peut dire je plonge dans les abîmes à cause de sa nouvelle condition, qu'il n'arrive pas à se contrôler qu'est-ce que j'y peux moi s'il ne peut lus répondre de rien si il voit et sent du sang. Je n'aurais pas du le frapper parce qu'il n'aurait pas répondu, il ne m'aurait pas frappé en retour, et voilà le résultat alors je ne sens plus de pression sur mon cou, je n'ai plus l'impression qu'on me prend mon flux vital je suis quand même en train de mourir. Ne sentant plus cette sensation d'être vidé littéralement je me disais qu'il devait en avoir fini de moi, qu'il venait peut-être de prendre tout le sang que j'avais ou alors il m'en laisse un peu juste pour qu'on m'achève. Je crus entendre une voix mais qui venait de très loin, j'ouvris les yeux ce fut très difficile mes paupières me semblaient peser des tonnes et pourtant je voyais quelque chose de très flou et coloré venir vers moi, la voix disait quelque chose mais impossible de dire quoi j'aurais aimé savoir ce qu'elle disait juste pour savoir si j'allais mourir tout de suite, si j'allais aller au paradis j'espère y aller parce que je n'ai pas l'impression d'avoir fait des choses mauvaises dans ma vie.

Je n'avais pas remarqué que la température avait brusquement chuté, je ne voyais pas non plus que mon corps tremblait, sûrement mes dernières convulsions la dernière que j'en ai eu j'étais cloué au lit pendant une bonne semaine parce que j'avais mal fait cuir mon œuf. J'avais envie de dire quelque chose, la forme avec de la couleur vint vers moi bizarrement j'espérais au fond de moi que ce soit Travis qui est venu m'achever, je ne voulais pas rester comme ça, souffrir trop longtemps c'est vraiment pas mon fort et je n'ai pas envie d'attendre des heures avant de m'éteindre complètement. Mais la forme ne semblait pas être Travis, je n'eus pas de nouveau la sensation que mon flux vital soit aspiré, qui ça pouvait bien être alors si ce n'est lui. Je me demandais bien, je voulais essayer de bouger mon bras mais je n'y arrivais pas les forces me manquait terriblement, j'avais déjà grand peine à maintenir mes paupières à demi ouvertes, en fait je réussi juste à faire bouger un doigt mon pouce tu parles d'une première.

Val ….

C'était la seule chose que j'arrivais à prononcer et encore je ne sais pas si on pouvait m'entendre, moi je n'avais rien perçu en tout cas ma voix devait être bien trop basse, sûrement un murmure venu d'outre tombe. J'avais été incapable de dire en entier le nom de celle que j'aimais, celle que j'espérais que ce soit la forme coloré à mes côtés, je sentis une chaleur sur ce que je pensais être mes doigts. Plusieurs minutes passèrent, elles me parurent des heures voir des interminables heures je vis des formes blanches devant mes yeux, je sentis un truc sur mon visage, la vision s'obscurcit encore plus c'est là que je fermais les yeux j'avais vraiment trop mal aux paupières et ça demande énormément d'énergie en fait. Il s'avéra qu'en fait les hommes en blanc étaient des médecins venus me ramener à l'hôpital mais ça je n'en eus pas du tout conscience, je restais un long moment dans un bloc opératoire et maintenant j'étais dans un lit avec plein de tuyaux dans les bras je dormais toujours à croire que la morphine faisait son effet.

Sujet verrouillé & archivé